Sharif Rezayi peine à retenir ses sanglots. L’homme de 46 ans a le pas lourd. Entouré de ses neveux, son regard s’attarde sur l’endroit où son fils Nooran aurait été abattu par un tir policier. Son visage se tord de douleur et ses yeux se remplissent vite de larmes en évoquant la mort de son adolescent.
This is terrible. ACAB. And to think that my kid goes to the same school as the son of one of these pigs… Ugh.